1. |
|
|||
|
Et le ciel donne si peu à voir
Et le ciel offre si peu à rêver, si peu à aimer;
Il se passe très bien de nos déboires
Quand l'horizon gronde, je m'enterre en toi
Je me perds dans ta ligne de tir
Tu ne vois pas où nous entraîne la logique du pire
J'échange volontiers les mondes à découvrir ou à jeter
Le visage caché entre tes cuisses
J'évite de penser, ça me rend triste
Avec toi je me sens comme un Juif allemand
Dans les années trente, je garde espoir, je patiente
Refusant de croire que tu veux ma peau
Et le ciel donne si peu à voir
et le ciel offre si peu à rêver, si peu à aimer
Et le ciel donne si peu à voir
et le ciel offre si peu à rêver, si peu à aimer
Et le ciel donne si peu à voir
et le ciel offre si peu à rêver, si peu à aimer
Et le ciel donne si peu à voir
et le ciel offre si peu à rêver, si peu à aimer
|
||||
2. |
|
|||
|
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
Quand dans ma tête j'explose
Je m'explique à moi-même
Les principes d'un autre
Qui n'est pas moi et que j'envoie chier
Ecoute, ma belle, tu me demandes de déposer les armes
Et surtout cette guitare, mais elle me rend libre
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
Le temps passe et je ne change pas
Je me vois mochir sans aigreur et sans style, non, sans style
Alors t'en dis quoi? je pourrais revenir, masqué, et sonner à ta porte
M'ouvriras-tu?
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
On cherche tous quelque chose ou quelqu'un à aimer
|
||||
3. |
Cambodge (Kim Wilde)
03:30
|
|
||
|
Il était en Thaïlande, elle était en attente
Il volait le week-end, c’était la vie facile
Jusqu’à ce que ça périclite, qu’il se mette à changer
Elle ne s’attendait pas à ce qu’il vire étrange
Et puis on l’a appelé, au cœur de la nuit
Il ne pouvait rien dire mais il l’a rassurée
Pas besoin de bagages, il reviendrait très vite
C’était juste une mission, voler vers le Cambodge
Et comme les nuits passaient, elle pensait à lui
Et à la façon qu’il avait de l’embrasser du regard
Elle ne saura jamais ce qu’il avait en tête
Elle ne s’en sortait pas, elle ne comprenait pas
Il avait des yeux tristes, aussi tristes que le monde
Il pleurait la nuit, c’était des sales rêves
Elle se serrait contre lui, il cherchait son visage
Comme si elle savait qu’il allait se perdre au Cambodge
Un appel est venu, il allait bientôt rentrer
Elle devait se préparer pour un rendez-vous
Mais un an plus tard, sans un seul mot
Tout son amour l’avait rongée de l’intérieur
Ne pleure pas, les larmes sont inutiles
C’était en 86 et j’avais onze ans
Je passais des 45 tours dans ma chambre d’adolescent
Kim était si jolie, je voulais la consoler
Mais il y avait sur le coup le beau Laurent Voulzy
|
||||
4. |
Sweet Kiss
03:32
|
|
||
|
J'ai des chevaux de course dans le ventre
Ils ont les jambes brisées mais ils filent au vent
Quelle belle lumière, il se jettent du haut
Des falaises et oublient qu'ils n'ont pas d'ailes
Longtemps, j'étais un outsider
On misait sur moi en riant
Longtemps j'étais un outsider
On m'appelait Sweet Kiss mais jamais je n'embrassais
La nuit j'entends la foule s'amuser de peu
Toi tu ne dis rien tu attends en bout de piste
Qu'enfin j'émerge du brouillard, un sourire aux lèvres,
Et t'emmène au loin, vers une vie sans paris truqués et perdus
Mais mon sommeil, tu sais, est si profond déjà
Et si mon cœur s'arrête au mauvais moment
Je redeviens enfant, je rêve d'un bel horizon
Couvert de gloire, en pensée, sur un cheval moribond
Longtemps, j'étais un outsider
On misait sur moi en riant
Mais ce soir, je n'ai plus peur
Je suis vent, je suis foudre et tonnerre
|
||||
5. |
Larmes gelées
01:19
|
|
||
|
Tombent les larmes gelées de mes joues
M'a-t-il donc échappé que j'ai pleuré?
O larmes, mes larmes
Êtes-vous donc si tièdes que vous devenez glace
Comme rosée froide du matin?
Et vous jaillissez pourtant de la source de ma poitrine si brûlante de chaleur
Comme si vous vouliez faire fondre la glace de tout l'hiver, de tout l'hiver
|
||||
Centredumonde France
Depuis 1997, Centredumonde compose des chansons que personne n'écoute, et il ne s'arrêtera que le jour de sa mort!
If you like The sweet kiss, you may also like:
Touched by the Stuff
by Motorists
Toronto rivals San Francisco as the North American capital of jangle pop as evidenced by this new record of sunny jams from the Motorists.
go to album
Blissfully narcotic dream-pop inspired by real dreams.
go to album
Brijean are back! Uptempo space disco grooves dusted with soul and R&B on the duo’s latest masterpiece.
go to album
Guitars sparkle like distant constellations on the latest from Scythe, who delivers dazzling space rock on their latest LP.
go to album
Io tu il loro
by Klaus Johann Grobe
Pivoting from German to English, disco to soft rock, the groovy Swiss duo branch out on their first album in six years.
go to album
Orchid Underneath
by Jane Paknia
featured on Bandcamp Radio Mar 26, 2024
go to album
Eccentric pop that connects the dots between progressive ambient and warped video game soundtracks can only be called truly psychedelic.
go to album
