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Il danse tout seul au bord de la piscine, il est content

by Centredumonde

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1.
2.
Viens avec moi, nous allons réécrire ma vie La mettre à plat dans un bouquin rempli de recettes de cuisine Viens avec moi, on prendra nos mauvais souvenirs On en fera un poison efficace, allons vider cette fiole dans la mer, que le monde en profite Regarde, c’est un somnifère ils s’endorment tous, profitons-en, amusons-nous un peu, Affublons-les de costumes ridicules, brisons leurs rêves, effaçons leurs pensées, Enchaînons-les, oui, enchaînons-les Ne pleure pas, ils se réveillent tellement jeunes, tellement beaux, Je sais ils ont tous mon visage, un effet secondaire de la potion ça me fait rire mais eux se tapent la tête contre les murs comme s’ils voulaient Réécrire leurs vies, les mettre à plat, en faire une recette de cuisine Un ragoût immonde que je n’avalerai pas Si l’humanité était un plat Je me laisserais mourir Je me laisserais mourir de faim
3.
En débarquant à l'aérodrome de Syracuse, on pose le pied sur des clochards anesthésiés, ils m’offrent à boire des verres de pisse Alors l’air chaud m’aspire et me projette sur le sol de Syracuse Quand je marche vite ou quand je cours, j’ai l’air idiot, genoux crispés, mes longs bras maigres, léger foirage, pétri de flemme, faut que je me tire Alors l’air chaud m’aspire et me projette sur le sol de Syracuse
4.
Le long des tuyaux nos vies s'étiolent Vers l'intérieur on nous nourrit Dehors nos vies s'étiolent Vers l'intérieur on nous remplit Dehors nos vies s'affolent le long des tuyaux Bonnes pour la casse Le long des tuyaux nos vieilles lamelles Se taulent dehors: elles sont si molles À l'intérieur c'est jour de soldes Les soldes, on en raffole Le long des tueries, des tubes, des canaux Le long de tout ce qui s'écroule, c'est cool Le long de tout ce qui s'écroule De la soupe glisse le long des tubes de plastique
5.
Toute une journée Allongé sur l'eau De la lumière accrochée Comme il faut sous le rétro Toute une journée Sous le rideau Tu ne m'as pas trouvé Je faisais le beau un peu plus haut Qui m'a sorti de là ? Et combien m'y ont laissé ? Pour mort ou dans un état De France Halacoma Toute une année Une dizaine d'années De confessions sans fond De projet sans profession Qui m'a sorti de là ? Et combien m'y ont laissé ? Pour mort ou dans un état De France Halacoma Halacoma Halacoma Halacoma Halacoma
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8.
Le ciel et la mer se confondent Et se glissent dans tes yeux Je prends le large avec toi, en pensée Les mots tendres sont vagues et rochers Et même si nos rêves nous séparent Nous nous sommes aimés Et c’était doux comme Une sieste en été Moi j’en ai vu des vertes et des marées Toi tu te dis « quel garçon cabossé » Ton cœur est si grand tu pourrais me réparer Je m’en veux tu sais d’être anesthésié Et même si nos rêves nous séparent Nous nous sommes aimés Et c’était doux comme Une sieste en été Et même si nos rêves nous séparent Nous nous sommes aimés Et c’était doux comme Une sieste en été
9.
My darling is la blonde aux yeux globuleux My darling is only belle vue de dos My darling, she is la nénette super nunuche My darling a le crâne si léger qu’il ne s’enfonce jamais dans les oreillers My darling, c’est un demi-boudin, mais son père, c’est Aaron, le producteur My darling, dans la série, toutes les filles sont mieux qu’elle My darling My darling My darling is Tori Spelling
10.
Je me suis acheté une belle paire de chaussures J'adore réfléchir en marchant Ça aère les neurones Sauf que je suis cul-de-jatte Je me suis fabriqué un joli petit chariot Des clous, des planches et le tour est joué Avec un lasso, J'aurais le cheval qu'il me faut Je capture un beau petit lot qui gambade le ventre à l'air Elle m'entraîne avec elle dans son jogging Tous les dimanches Elle aime traîner son cul-de-jatte A force, je me suis fait tout plein d'amis Surtout des jolies filles Que je fourre dans les buissons Sans même quitter mon chariot
11.
J'habite à la campagne avec quelques amis dont les visages me sont inconnus, bien qu'il semble exister une certaine connivence entre nous, et, pourquoi pas, un flux d'énergie sexuelle latente. La nuit tombe sur les collines environnantes, le ciel se met à chanter, les nuages virent au bleu indigo, et une tour de Pise inversée se plante dans l'herbe humide: à son sommet, des planètes effectuent leurs révolutions coniques, comme si les occupants de cet engin trimballaient leur système solaire avec eux. Le contact avec les trois voyageurs se passe bien, ils nous expliquent qu'ils travaillent pour l'armée américaine, font des expériences de propagande psychologique et le cas échéant, testent les réactions de ploucs comme nous face une éventuelle invasion de petits gris. Là, ils sont satisfaits, nous n'avons pas eu peur, nous serons donc capables de défendre notre patrie contre l'ennemi de l'au-delà. Ensuite, ils remontent dans leur véhicule en forme de bâtonnet, et rien ne se passe. Alors nous poursuivons nos occupations, indifférents à leur silencieuse présence dans le jardin. En gros, nous nous disputons pour des histoires de vaisselle, de sexe, pas mal de sexe, nous cassons des objets, nous crions, nous nous battons, dans un tourbillon effréné nous résumons en une nuit le comportement détraqué de l'humanité entière depuis l'aube des temps. Je me souviens plus particulièrement d'une scène, où je suis enfermé avec une petite brune aux cheveux longs dans la salle de bains, adossés à la porte nous parlons et moi je n'ai qu'une envie, celle de lui défoncer le cul, et elle pleure, parce qu'elle s'est fait larguer, et moi je me dis que si je voulais, je pourrais la forcer, parce qu'elle est raide et qu'elle ne se souviendrait de rien. Je crois que ça se rapporte dans la réalité à une soirée concarnoise où je m'étais retrouvé dans la salle d'eau avec deux filles, une brune assez laide et criarde aux yeux qui tombent et Anna, très jolie blonde que je désirais plus ou moins, sauf qu'elle avait 16 ans et puis voilà, on avait fermé la porte à clef pour se rouler des joints et il ne s'était rien passé d'autre. Vers la fin de la nuit, je trouve un vieux poste radio et je capte les conversations des explorateurs natifs du pays de la liberté et des hamburgers : " …dggdf… mon capitaine, ils sont inutiles à l'évolution de l'univers.. dhjhjd… nous pouvons les laisser en place…..gfhjgf…. la race humaine est tarée… ils se battent pour des pauvres histoires de sexe, de couleur, de statut social, de balles qui roulent et rebondissent… pas besoin d'aller voir ailleurs…. Oipopzopdzop…. Mon commandant, ici le capitaine KXKXKX, nous terminons notre patrouille, les humains sont de la merde, on ne va pas perdre notre temps à leur bidouiller le cerveau… ffffgfgre.. on décolle… " Mince, c'étaient des vrais petits gris ! L'allumette volante fend les airs dans la rosée du matin, et nous, exténués par nos chamailleries nocturnes, nous assoupissons enfin, moi avec un demi-sourire aux lèvres, parce que je suis le seul à savoir la vérité mais personne ne croirait qu'avec notre connerie nous avons sauvé la terre, super!... et merde, peut-être que j'aurais préféré que mes congénères se fassent BIDOUILLER le cerveau, comme ça j'aurais eu la paix, et en fin de compte je ne me suis pas endormi. La déception m'a tenu éveillé je sais juste que pour une fois les oiseaux ne chantaient pas : eux-aussi étaient déçus.
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13.
Un conflit se prépare et je ne fais pas le poids Ils sont obligés de se taire à tout jamais, se murer dans un silence opaque, Parce qu'ils ont trop parlé. Un conflit se prépare et je ne fais pas le poids. Ils chantent à voix basse et s'écoutent enfin Découvrant qu'ils s'étaient reclus dans le bruit Une armée de moi-je anorexiques regrette le temps Où les mots étaient plus qu'un miroir Maintenant, un quota de phrases est fixé, Trente par jour et par personne Il faut donc s'économiser, la logorrhée verbale est terminée Un conflit se prépare et je ne fais pas le poids. Bien sûr, ils sont si frustrés qu'ils remettent en cause cette nouvelle loi Et pour protester, certains se crèvent les tympans, Se coupent la langue, Ces pauvres idiots veulent me faire culpabiliser Le silence les oppresse autant que l'oppression qu'ils s'infligent A tel point que même un cri de douleur les rassure. Un conflit se prépare et je ne fais pas le poids. Ils prennent les armes pour m'embrocher Moi leur roi si peu aimé, Je préfère vivre que mourir pour des idées, Je leur rends la parole…
14.
Je manque de temps, je manque de patience, je manque de désirs, je manque de rêves Je manque d'argent, je manque d'ambition, je manque de chaleur, je manque de chair Je manque à mes devoirs, je manque de constance, je manque de lucidité, je manque de courage Je manque de franchise, je manque de fierté, et pour ça, je m'en mords les doigts mais toi, rassure-toi Toi, tu ne manques pas et je ne te manquerai pas non plus Tu l'as bien dit en souriant : on restera amis, et moi je ne veux Pas, je voudrais te déchirer les tripes à coups de dents Et si tu étais là, je te mordrais Les doigts Je manque de sagesse, je manque d'humilité, je manque d'assurance, je manque d'amitié Je manque d'hygiène, je manque d'honneur, je manque d'espace, je manque de pudeur Je manque de mémoire, je manque de tact, je manque de beaux fringues, je manque de bon goût Je manque de culture, je manque de simplicité, et pour ça, je m'en mords les doigts… mais toi, rassure-toi Toi, tu ne manques pas et je ne te manquerai pas non plus Tu l'as bien dit en souriant : on restera amis, et moi je ne veux Pas, je voudrais te déchirer les tripes à coups de dents Et si tu étais là, je te mordrais Les doigts Je manque d'écoute, je manque de forces Je manque de fond, je manque de forme Je manque de projets, je manque de passé Et pour ça, je m'en mords les doigts Mais toi, rassure-toi Toi, tu ne manques pas et puis non, je dis n'importe quoi Si je manque de tout, c'est d'abord parce que je manque de toi
15.
Pour que rien de nous d'eux n'échappe à notre étreinte Si profonde qu'elle en est sainte Et qu'à travers le corps même, l'amour soit clair ; Nous descendons ensemble au jardin de la chair. Tes seins sont là ainsi que des offrandes Et tes deux mains me sont tendues ; Et rien ne vaut la naïve provende Des paroles dites et entendues. L'ombre des rameaux blancs voyage Parmi ta gorge et ton visage Et tes cheveux dénouent leur floraison, En guirlande, sur les gazons. La nuit est toute d'argent bleu, La nuit est un beau lit silencieux, La nuit douce, dont les brises vont, une à une, Effeuiller les grands lys dardés au clair de lune.
16.
Les murs ont été passés à la chaux Les vêtements, les draps, les meubles, entassés dans la cour ont été brûlés Il faudrait partir à l'instant… Le vent se lève, transporte les voix de ceux qui s'éteignent, Leurs cendres se mêlent, s'élèvent puis retombent On ne quitte jamais la léproserie Les murs sont en vous maintenant, Rongés par les ongles Grandissant chaque jour, brûlant le reste, le feu qui couve Il faudrait partir maintenant… Mais on ne fuit pas son propre corps Il s'éteindra puis s'étendra Nous entraînant dans la mêlée S'élevant puis retombant Je suis venu recueillir vos derniers mots Pour les graver sur les murs de la léproserie
17.
Je te cède mon corps, j'ai trop fait semblant De savourer nos respirations mêlées Je te rends nos souvenirs, je te rends nos ailes Tu en auras besoin pour me fuir Ne dis pas que tu vas t'améliorer : ça va m'enrager Je te laisse le ciel et ses nuages de pierre Pourvu qu'ils t'écrasent, pourvu qu'ils te brisent Je te laisse nos guerres, je te rends nos larmes Pourvu qu'elles te brûlent, comme tu m'as brûlé Ce que tu m'as pris Offre-le à la prochaine idiote qui t'écoutera Je te cède mon corps, il ne vaut plus rien Tu me tiens dans tes bras mais ce n'est plus moi Tu me prives d'espoir, je t'entoure de noir Rions de la peur qui émane de nous J'ai piégé tes tripes, tu vas exploser En pièces détachées, on monte mieux au ciel
18.
01. La scène dégouline de sueur, il fait au moins trente degrés, je baille d’ennui, autant que les vip blasés qui traînent au bar 02. Nous jouons depuis une heure, et je ne demande qu’une seule chose, atteindre la dernière chanson, du rock guimauve en mi mineur 03. Je propose à l’orchestre de bâcler ce concert on me répond que c’est une très mauvaise idée au vu du prix des places 04. Tous les titres que j’interprète ce soir avec dégoût sont extraits de mes disques en solo, de la soupe calibrée pour les radios 05. Mais j’entends très clairement des jeunes filles au premier rang réclamer les tubes de mon ancien groupe, ça me flétrit l’ego 06. Et quand l’orchestre attaque le plus gros succès de mon second album je ne peux même pas dire s’il plaît au public tellement l’ambiance est molle 07. Je me déplace lentement sur la vaste scène, tentant de mieux voir ce public informe avide de sensations balisées 08. Mais d’énormes projecteurs transforment le stade en une masse d’obscurité grise et mouvante 09. Et au moment où j’entame le refrain, je ne retrouve plus les paroles, l’indécision me coagule 10. Je chante « Une autre nuit sans toi et la nausée au petit matin », et puis je reste figé. 11. Le clavier relève brusquement la tête, le bassiste s’approche de moi, le batteur, impassible, continue de marteler le rythme 12. Je ne joue plus de guitare, ça ne s’entend même pas, je suis ailleurs, je suis parti, je ne veux plus être là 13. Le bassiste me hurle quelque chose, je tourne la tête dans sa direction, mes mains me font horriblement souffrir, j’ai besoin de boire 14. Alors le bassiste me dit ce que je dois chanter, un truc fleuri du style : « Donne au monde une autre chance » 15. Il crie encore : « Et la chance te ramènera Suzy », moi je ne veux pas de cette stupide phrase entre mes dents 16. Mince, pourquoi bon sang est-ce que je devrais chanter ces idioties, et puis quel est le con qui a bien pu écrire un texte si merdique ? 17. Ma voix s’élève dans l’air poussiéreux, les choristes prennent le relais, et je fais signe à l’orchestre d’abréger les solos de la fin 18. Le public s’excite vaguement, demande un rappel, mais je m’en fiche, je ne suis là que pour ramasser leur fric 19. Bousculade au premier rang, j’espère qu’un môme ou deux étouffera sous la mêlée, ça me fera de la publicité sur MTV 20. Dans la limousine qui me ramène à la villa, mon manager me félicite, pour lui ce fut un excellent concert 21. Mais moi je sais que ça n’a aucune valeur, je me sens minable, et ce n’est pas la gloire qui m’empêchera ce soir de me pendre, ce soir sans toi
19.
Quand je t'embrasse J'ai peur De marcher dans la merde
20.

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Il danse tout seul au bord de la piscine, il est content - Compilation de démos

"Les introductions à Centredumonde s’accumulent peu à peu, dévoilant, entre deux disques réputés plus aboutis, un univers pop à l’acidité et lucidité sans faille. Musicien et auteur au désespoir semble-t-il inconsolable, Centredumonde transforme sa noirceur en chansons mordant violemment dans la new-wave, le post-rock, l’électro-pop. Enregistrées à Brest et Paris, entre 1998 et 2017, elles éclairent à nouveau toute la singularité d’un compositeur qui cultive soigneusement son amour pour une musique exigeante, et pour des textes à la poésie tantôt renversante, tantôt superbement ironique. Au fil d’un néo-folk minimaliste, d’un rock effondré, d’une électro faussement cheap, il déploie sa vision du monde et de la condition humaine forcément dévastatrice. Un peu comme si Joy Division avait rencontré Jean-Luc Le Ténia. On devine pourtant, derrière le mur nihiliste des paroles, une authentique énergie vitale. Celle d’une musique sombre, mais souvent dansante." Yan Kouton - IndiePopRock

"Au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau ! Telle était l’injonction de Charles Baudelaire à la fin de son Voyage. Mais si Centredumonde nous invite à plonger dans son inconnu à lui, il faut son ticket d’entrée, avoir apprécié les succulents EP récents et avoir commencé la descente dans la discographie par les premiers paliers de démos. Alors oui, vous pouvez y aller, ça y est on y va. Parce qu’on s’enfonce dans le plus obscur, le plus brut. Et c’est assez fascinant il faut le dire. A priori, pas de la matière à exégèse. Et pourtant. C’est un collègue maintenant et on l’a souvent écoutée, cette compilation au long titre. Si vous avez un compte Facebook la genèse des morceaux est commentée et c’est plutôt gratiné, on attend une publication, ça vaut finalement toutes les autobiographies. Et puis c’est éclairant. Par exemple, dans ses notes, il ne semble pas se souvenir si Ma Vie Est Nulle, Elle Est Conceptuelle était ironique ou pas (penchant tout de même vers le ‘ou pas’) et cette indécision aide à garder une part de mystère et d’empathie (un peu relative en l’espèce). Cette propension à rester en équilibre entre le premier et le second degré est d’ailleurs un des points d’attrait de cette compilation, et cette frontière semble encore plus floue qu’elle ne l’est devenue. Musicalement aussi, le côté démo est assumé (c’en sont après tout…), avec l’inévitable boîte à rythme sur Le Jogging Sociabilise Les Obsédés Sexuels. Quand on a un titre pareil, il n’y a presque pas besoin de chanson. D’une manière générale, les titres sont au minimum intrigants, au mieux une petite histoire à eux seuls. C’est un art qui n’est donc pas réservé à la musique instrumentale. Comme certains de ces morceaux sont anciens, on remarque que même la voix a changé, c’est d’ailleurs son traitement et la façon de la poser qui pourra déconcerter le plus et n’est pas homogène parmi les 20 morceaux proposés ici. Surtout quand c’est un certain David Jestin qui s’y colle sur France Halacoma pt.1 qui nous rappelle les exercices de notre compatriote Carl. Mine de rien, plein de titres restent en tête, pour leur idée ou leur résultat. Epinglons donc Le Dernier Concert de Centremonde ou Tori Spelling’s Song. Si vous aimez la conjonction d’une boite à rythme et d’accords mineurs sur grosse guitare, il y a de quoi faire et ça fonctionne souvent (sur La Léproserie par exemple). Bref, ceci ne devrait pas être une porte d’entrée à une discographie dont on n’a pas encore tout découvert mais si vous avez suivi le chemin jusqu’ici, pas de raison de décrocher !" Marc Mineur - Esprits Critiques

credits

released July 1, 2022

Ecrit et enregistré at home, entre Brest et Paris, 1998 et 2017.

All songs by Centredumonde, except:

- "France Halacoma (part 1)", texte de David Jestin
- "La nuit est un beau lit silencieux", poème de Emile Verhaeren

Joseph Bertrand : plein de trucs
David Jestin: chant sur "France Halacoma (part 1)"

Mixage : Centredumonde
Mastering : Centredumonde
Artwork : GWL Graphismes

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Depuis 1997, Centredumonde compose des chansons que personne n'écoute, et il ne s'arrêtera que le jour de sa mort!

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